ça y est, c'est décidé ! Pour 2009, on ne prendra aucune résolution. Non, non et non ! Marre de culpabiliser toute l'année, et de courir après la perfection. Et d'ailleurs, la perfection, elle n'est pas de ce monde !
Alors, comment on fait?
On déconnecte, on déstresse, et on respire un grand coup : on n'est pas grosse, non, à peine un peu enrobée, et avec un peu de chance, il y a un siècle, on aurait pu servir de modèle à un peintre, ce qui est plus classe que d'être prise en photo par un paparazzi, non?
On se laisse aller, et on se contente de penser à quelques priorités, sans se stresser, et plutôt que de se fixer de lourds objectifs, on pense "pensée positive" et constructive.
Qu'est-ce que c'est?
Les objectifs, c'est précis, et décourageant. Alors que si on se concentre sur les moyens d'y parvenir, et sur la globalité de l'effort, on se décourage moins et le résultat est plus à notre portée.
Exemple type : maigrir
Pas facile, on le sait. Donc, on ne se promet pas de perdre six kilos en deux mois. Non, on se demande, sans objectif, comment trouver dans les aliments qui nous plaisent, ceux qui sont les plus sains. Comment, tout en douceur et par étapes, influer nous-même sur notre mode de vie, pour plus ou autant de plaisir et moins de culpabilité?
On y réfléchit sans stress, et on commence par quelques étapes simples : exemple : sans nous gaver, toujours avoir assez manger, pour ne pas, au moindre coup de barre, risquer la fringale dévastatrice. C'est une question de mode de vie. Mais ça s'organise. Réfléchir à un petit déjeuner pas régime mais plus sain, et qui nous permet de tenir sans souci. A l'en cas de 10 heures, qui doit être sympa, au menu du midi. Attention, on ne compte pas les calories, on modifie son goût, mais en douceur : s'imposer des courgettes à l'eau, c'est pas gai, on sait qu'on va craquer.
En résumé, on augmente le nombre de légumes et de fruits, et on redécouvre la soupe.
Autre exemple : la gestion du temps
Tout faire? impossible, il faudrait trois vies. Alors, tout en douceur aussi, on réfléchit à son emploi du temps, au moyen de le rationaliser, et aussi d'enlever les surplus. A-t-on besoin de passer deux heures, deux fois par semaine, au téléphone avec sa mère ou une copine? Pourquoi ne pas le remplacer par une visite qui prendra presque le même temps, mais permettra de sortir, prendre l'air, et faire les courses en revenant?
Alors? Vous aussi, pas de résolutions, mais rationalisation?
samedi 17 janvier 2009
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